BLOG | Au cœur de la DXP, le PIM
10/12/2024
Découvrez le PIM, composant essentiel de la DXP : une solution stratégique pour centraliser, structurer et optimiser vos données produits, au service de vos ambitions digitales.
29/11/2024
Nous sommes allés faire un petit tour au salon Tech For Retail qui s’est déroulé le 26 et 27 novembre à la porte de Versailles. Avant de rentrer dans le détail des conférences auxquelles nous avons assistées, voici un premier ressenti du salon.
Voici ce que l’on a pu voir lors des conférences.
Une équipe de 200 personnes s’occupe du sujet de l’IA dans une optique de création de valeur sur des cas d’usage précis. Les exemples donnés sont concrets :
Carrefour met également l’IA à disposition de ses salariés pour faciliter leur travail au quotidien :
La conclusion d’Emmanuel Grenier tient en 3 parties :
Les participants confirment l’intérêt de la mise en place d’un PIM pour une société comme Oxycare.
Les deux intervenants parlent de cas précis de l’usage de l’outil. Gestion des avis clients laissés sur les plateformes web :
Une autre fonctionnalité est la proposition d'idées de communication sur les réseaux sociaux. Une marque doit être présente au minimum une fois par mois sur les réseaux et il est parfois difficile d’être original. C’est là que l’IA entre en jeu. A partir d’un ensemble de critère (type de produit, prise en compte de la saisonnalité, type d’émotion du message …), l'IA propose un post percutant avec contenu et image.
La conférence a été un peu plus dure à suivre pour une personne qui n’est pas habituée au jargon du retail média. Dans les faits, le problème a été posé mais la solution n’a pas été évoquée. La promesse était la suivante : Face à des parcours consommateurs complexes et fragmentés, avec des typologies de shoppers à la fois extrêmement hétérogènes, des points de contacts multiples et des tunnels de conversions totalement délinéarisés, quelles bonnes pratiques pour naviguer dans cet écosystème et tirer pleinement profit du Commerce Media ?
Nous sommes restés sur des idées comme : publicité ciblée sur des espaces premium, multiplier les points de contact avec le client, trouver la bonne expérience digitale omnicanale, résoudre le problème de cohérence entre la publicité de la marque et du retailer…
L’objet de la conférence est de montrer la mise en œuvre de projets de machine learning (ML) grâce à la puissance de Snowflake. La conférence commence par une statistique : « 85% des projets de machine learning n'aboutissent pas » et tente d’expliquer comment les faire aboutir. Alors, on voit beaucoup de schémas d’archi, des slides en police 6 et on ne comprend pas trop à quoi toute cette puissance va bien servir.
Ce n’est qu’à la fin que l’on comprend le propos avec la première question du public : « Pouvez vous nous donner un exemple de cas d’usage ? ». Salomon vendait principalement à des distributeurs dans une approche B2B. En 2010, ils ouvrent leur premier site e-commerce avec le début du D2C. Le premier cas d’usage du ML est la définition d’un Consumer Clustering automatique sur la base duquel ils font leurs campagnes marketing. Sûrement capital pour eux, pour cibler parfaitement leurs actions marketing. Tout ce potentiel reste donc à transformer avec de nouveaux cas d’usage.
Cette conférence fourni les atouts d’une CDP : Customer Data Platform. Les participants zooment sur l’intérêt de la personnalisation. Avec une CRM on ne pouvait avoir qu'une communication très générique qui provoque le désengagement du client. Avec une CDP on a une vision unifiée qui est rendue accessible à tous les outils de l'entreprise. L’intérêt de DinMo est d’être une CDP composable. Il reste tout de même le sujet épineux du maintien des connecteurs entre les différents systèmes.
On a eu le droit à une conférence sous la forme d’un one man show agréable avec le CSO d’Actito, Marc Désenfant.
Tout d’abord, il y a eu un rappel des moyens de communication qui peuvent toucher les clients : mail, SMS, web-push, inapps-push, geofencing, RCS (que sur Android pour l'instant), WhatsApp et Wallet avec les avantages et inconvénients de chaque solution.
Ensuite, il a été rappelé l’enjeu de la cohérence de la communication client via un exemple concret de parcours client. On comprend que cela soit compliqué :
Des outils comme Actito permettent la personnalisation omnicanale et proposent des interactions fluides et engageantes.
Pour finir, une distinction est faite entre l’IA générative et le machine learning, bien utile dans un contexte où tout se mélange un peu.
De cette conférence, on retient les éléments suivants :
Des conférences majoritairement intéressantes qui donnent une vision concrète de la réalité du terrain et des difficultés rencontrés par le milieu. Une multitude d’outils viennent proposer des solutions élégantes avec une mise en avant de cas concrets d’usage pertinent de l’IA.
Néanmoins, on se demande où tout cela va nous emmener en particulier sur la génération automatique d’information. Je pense que l’on est déjà dans le processus où l’IA génère de l’information qui sera consommée par l’IA. Mais où va se retrouver l’humain là-dedans ? On me dit qu’il faut absolument que j’aille lire le dernier Nexus d’Harari : J’y cours !